Vin rouge

Bouteille de 75cl de Chateau Peby Faugère, Saint Emilion grand cru, millésime 2012. Un millésime tardif au printemps exigeant et à l’arrière-saison généreuse sous le soleil de septembre-octobre. 

Bouteille de 75cl de Chateau Peby Faugère, Saint Emilion grand cru, millésime 2013.

Bouteille de 75cl de Vin Espagnol Numanthia, Termes Tinta de toro. 2012. 

Bouteille de 75cl de Saint Emilion Grand Cru, Chateau Peby Faugères, millésime 2014. Un millésime attendu qui a tenu ses promesses grâce à une arrière-saison magique Situé à l'est de la côte de Saint-Emilion, Faugères est proche des Côtes de Castillon, avec des vignobles qui s'étendent sur les deux appellations. Tout commença en 1823 lorsque la Famille Esquissaud fit l'acquisition des châteaux Cap De Faugères, Faugères et Péby Faugères. Bien relancé par Corinne et Pierre-Bernard Guisez (Cousin de Philippe Esquissaud) dans les années 1990, par l'amélioration régulière de la qualité des vins, le cru a été repris par Sylvio Denz au début des années 2000 : avec ses investissements tant au vignoble que dans un nouveau chai d'architecture spectaculaire, Sylvio Denz a construit ses Châteaux Faugères et Péby Faugères au sommet de Saint-Emilion puisqu'ils sont désormais Grands Crus Classés. Le Château Péby Faugères s'étend sur 7,45ha d'un seul tenant. Il est situé sur un coteau argilo-calcaire, orienté sud-sud est. Il est la combinaison d'un grand sol ancien et d'un microclimat privilégié par la présence d'une rivière et à la formation du coteau en cirque. Le vignoble est cultivé en agriculture biologique et fait l'objet de toute l'attention de ses propriétaires. L'expertise de Michel Rolland au chai permet au vin de transcender l'expression de son terroir si particulier pendant la vinification et l'élevage. Depuis le millésime 2009, Péby Faugères s'est créé une véritable identité par la gravure d'un petit merle dans la bouteille. Pourquoi un petit merle ? C'est parce qu'en patois, il se dit merlot, tout comme l'unique cépage du Château Péby Faugères. Le dessin fut réalisé en 1928 par René Lalique. Silvio Denz, collectionneur d'art, associe ici ses deux passions